Camille Desroches [FV]

○ NOM : Desroches
○ PRÉNOM(S) : Camille
○ SURNOM(s) : Cammy

○ SEXE : Masculin, même s’il est androgyne et qu’il se fait passer pour une fille.
○ ORIENTATION SEXUELLE : Il est trop jeune pour le savoir..

○ DATE DE NAISSANCE : 29 Novembre 1997
○ ÂGE : 10 ans

○ RHÉSUS : Upsilon [ Je mets ça pour les effets négatifs, mais j'hésitais avec Epsilon.. S'il faut changer et que E convient mieux, faites-moi signe ! ^^ ]
○ EFFET GÉNÉRAL : Camille a une affinité irréaliste avec les oiseaux, peu importe les races. Sans pour autant « parler » avec eux, puisque les animaux ne s’expriment pas comme les humains n’est-ce pas, il est capable de les comprendre et de leur répondre, de se faire obéir d’eux comme de leur rendre des services. Il ne peut pas les contrôler, mais généralement, les volatiles sont de nature pacifiques et la communication passe parfaitement.
○ EFFET NÉGATIF : Il y a des moments où Camille perd le contrôle de lui-même, et se comporte comme un oiseau, sinon le « devient ». Ainsi, il se positionne accroupi, les coudes pliés comme des ailes, et sautillent pour avancer, pensant même pouvoir voler (ce qui le fait passer pour un suicidaire lorsqu’il se trouve en hauteur, et ce qui reste incontestablement dangereux pour lui..). Ses sens aussi changent ; la qualité de sa vue augmente et il capte les ultraviolets, même si en contrepartie son odorat devient quasiment nul, et, même si son ouïe devient surdéveloppé, il est obligé de remuer la tête pour réussir à capter les sons de telle ou telle direction. Enfin, il est capable d’écholocation.

○ INVENTAIRE : Sa gourmette, la carte d’identité de sa mère, et un papier plié en quatre et placée dans la poche intérieure de sa veste. Il ne comprend pas vraiment ce qu’il y a écrit dessus, mais il s’agit en fait de la première phrase de l’acte I de « Loveless », le livre préféré de sa sœur.



○ AVIS SUR LES AUTRES RHÉSUS : Il est effrayé par les Epsilon. Le fait qu’on puisse lire dans son esprit ou ses ressentiments lui donne envie de chialer. Il est en admiration devant les Iota, et les Mu, mais reste à distance des Delta. Pour lui, se montrer l’égal de Dieu n’est que délétère et n’apporte que le malheur [ enfin, c’est son éducation qui veut ça, mais bon ].

○ GOÛTS : Camille adore la neige, parce qu’il est né en Hiver et que son père lui faisait souvent faire des bonhommes de neige tôt le matin. Il aime aussi le sport, du moins est-ce de son âge. Courir, sauter, jouer.. Tout ça, c’est son truc, tant que l’on reste dans la limite du raisonnable, parce que bon, il a une réputation à tenir tout de même. Ecouter la mer à travers un coquillage est un de ses passe-temps préféré, parce qu’il ne l’a jamais vu de ses propres yeux, et que d’après sa maman, c’est très beau. D’ailleurs, c’est elle qui le lui a offert. Elle est originaire de la côte. Il adore se peinturlurer les ongles avec de l’encre de chine, aussi, lorsque son père travaille, mais ça, c’est un peu obsolète maintenant. Il s’intéresse de près à la nature, plus par curiosité que par quelconque envie de connaissance, et adore les animaux, bien plus que ses congénères humains. Il aime la lecture, mais la lecture pas trop compliquée ; de son âge, quoi, même si son livre préféré reste « Peter Pan » (version originale & intégrale, entendons nous bien). Il peut passer des heures à regarder les étoiles, et l’astrologie est un truc qui l’attire sans qu’il ne puisse l’expliquer. L’infinité, ce genre de truc, c’est assez mystérieux pour qu’il daigne s’y intéresser. Contrairement à tout gosse qui se respecte, il n’aime pas les sucreries. Sûrement à cause de son éducation ; quoiqu’il en soit, il est très difficile au niveau de la nourriture, mais un chewing-gum sans glucose peut parfois le faire taire. Du reste, il déteste les adultes depuis ses 8 ans, et a tendance à les fuir, ou alors à les faire tourner en bourrique, au choix. Quoiqu’il en soit, il ne leur fait pas confiance. Il n’aime pas le parfum qui sent trop fort, aussi ; ça l’écoeure. Il n’aime pas la foule, pas qu’il soit misanthrope, mais il a une trouille bleue de se perdre, et sa maman lui a dit de ne jamais parler aux inconnus. Se mêler à eux était sûrement compris dans le lot, non ? Il n’aime pas les mathématiques, non plus. Les chiffres, à l’école, ça lui donnait mal à la tête. Il n’aime pas spécialement le manque de couleur, et voue un culte sans borne à l’orange – et aux fruits, aussi. Et les autres gamins mal élevés et que sa maman qualifie d’« infréquentables » et de « dangereux » le répugnent, mais là encore, c’est une question d’éducation.

○ MANIES : Camille se triture souvent les cheveux ou le bas du T-shirt lorsqu’il est vraiment gêné et qu’il ne peut plus le cacher. Il adore les odeurs des livres neufs, de la colle et des marqueurs, aussi, et n’hésite pas à les sniffer quand il le peut, aussi bizarre que cela puisse paraître. Il s’humecte sans cesse les lèvres, parce qu’il n’aime pas la sensation désagréable de la sécheresse sur celles-ci. Et, sans se ronger les ongles, il grignote la peau se trouvant autour de ceux-ci.

○ CARACTÉRE : Camille n’était pas un petit garçon « normal » avant même d’être infecté par le Rhésus. Sa mère tenait à avoir une progéniture irréprochable et digne héritier, pour la postérité, tout ça. Aussi, après l’échec cuisant qu’elle obtint avec Gabrielle, sa première fille, elle se fit plus dure et sévère avec lui, son seul fils, second et dernier enfant. Son intransigeance passait d’ailleurs bien souvent pour de la cruauté aux yeux de cet enfant, encore trop jeune pour comprendre les raisons sibyllines qui la poussaient à agir ainsi avec lui. Ainsi, lorsque les gamins de son âge jouent et rigolent dans les rues avec l’autorisation de leurs géniteurs, Camille, à peine relevé sur ses deux jambes, se fait éduquer à grand renfort de froideur et de chantage. Dés lors que l’envie obsessionnelle de sa mère de faire de lui un petit garçon parfait est comprise, l’on cerne le caractère exécrable et insupportable de ce dernier. Capricieux, râleur, condescendant et méprisant, il a appris très tôt que les autres n’étaient rien, et que lui-même leur était forcément supérieur. Il se plaint souvent (sauf en présence de sa mère, bien entendu), mais si l’on se montre suffisamment clair et direct avec lui, il sait garder sa langue et obéir (dans la limite du raisonnable, entendons-nous bien..). Malgré tout, il lui a inculpé quelques (nombreuses) notions de respect. D’ailleurs, il sait se montrer excessivement tolérant et ouvert d’esprit en quasiment toutes occasions, même s’il recouvre cela d’une couche de mépris et de suffisance. Cette attitude n’est cependant qu’apparence, bien qu’il s’en accoutume quasiment tout le temps, et se dissimule pusillanimement derrière ce masque. Pourtant, lorsque l’on cherche un peu plus loin en ayant côtoyé le blondinet assez longtemps pour que celui-ci vous le permette, l’on se retrouve face à un enfant fragile, sensible et douloureusement partagé entre la fierté de sa génitrice et son envie d’être comme les autres, sinon de partager leur temps libre. Dans tous les cas, il sait se montrer serviable, reste poli en toute occasion, et a une faculté de compréhension assez élevé pour analyser l’environnement qui l’entoure. Longtemps, sa mère l’a pensé incapable de larmes, et s’en réjouissait ; mais Camille est tout simplement habitué à pleurer seul, par pudeur. En général, le garçon obéit davantage à la pudicité qu’à l’exhibition. Education, là encore. Du reste, il est capable de s’attacher relativement vite à l’un de ses congénères, mais nourrit une méfiance farouche vis-à-vis des adultes. Il n’est pas foncièrement méchant, mais pourrait bien faire preuve de malignité envers ceux-ci tant son amertume le grignote de l’intérieur. Camille est un garçon qui se montre sincère en quasiment toute occasion, n’ayant appris ni le mensonge, ni la fuite. Pourtant, il n’est pas quelqu’un de particulièrement courageux, sauf lorsque l’enjeu est particulièrement important. Mais en règle général, la témérité n’est pas sa compagne, loin de là. C’est un enfant posé, calme et réfléchi, mais il lui arrive de se montrer espiègle si la personne en sa compagnie en vaut la peine. Bien sûr, selon ses propres critères.. Mais il se montre mutin et malicieux avec tout le monde au moins une fois. Lors de la présentation ; en effet, l’un de ses plus jeux est de se faire passer pour une fille. C’est une habitude qui lui vient d’un conseil que lui a donné sa sœur, un jour. Mais il n’a aucunes intentions nuisibles. Après tout, ce n’est qu’un enfant encore innocent qui ignore la distinction entre le bien et le mal, et qui a du mal à comprendre le mot « douleur ». Pour finir, depuis sa séparation brutale avec sa sœur, il est devenu schizophrène. En effet, même s’il est persuadé d’être en télépathie avec Gabrielle, même si la petite voix lui parlant parfois mentalement n’est issue que de son imagination. Mais de ça, il n’en parle à personne. Et puis, ça arrive, de monologuer à voix haute, non.. ? C’est sa compagne dans les coups durs et la solitude la plus grande. Une sorte d’amie imaginaire, en somme..



○ TIC : Sa manie de s’humecter les lèvres sans cesse, donc. Il a un tic vocal lorsqu’il se prend pour un oiseau et imite leurs cris avouons-le de manière excellente mais de façon intempestive et incongrue. Il est aussi atteint d’écholalie, c’est-à-dire qu’il répète de manière spontanée et inconsciente un ou deux mots d’une phrase qu’on vient de lui dire, voire la phrase entière, et ce pour toute réponse, même si l’interlocuteur n’en attendait pas.

○ PHYSIQUE : Du haut de ses 1m39, c’est-à-dire 4 centimètres de moins que la moyenne (ça paraît futile comme ça, mais lui, ça le complexe énormément ; le besoin d’excellence de sa mère, tout ça..), Camille est un gosse complexé qui pourtant pourrait être qualifié d’irréprochablement irréprochable. Impeccablement habillé, impeccablement coiffé, une tenue impeccable, une expression à la fois neutre et polie impeccable.. Bref, ce gosse a une apparence.. Bah oui, impeccable. Irréprochable, pour ne pas me répéter. Et pourtant. Il se sent mal, très mal dans sa peau. Complexé à mort, donc. La raison est sans aucuns doutes psychologique, sa mère lui ayant fait du bourrage de crâne pour mieux le lobotomiser et le remplir à nouveau de concepts « parfaits » que son fils se devait d’atteindre pour devenir quelqu’un de bien. Et Camille désire être quelqu’un de bien, du fond du cœur. Blond aux yeux bleus, le stéréotype même bien que mélange harmonieux, le garçon déteste pourtant les couleurs de ses prunelles et de sa chevelure (blond miel vénitien, pour ne pas préciser), préférant de loin celles de sa sœur. Car, même si sa mère se tue à répéter que Gabrielle n’est qu’un brouillon raté, son fils, lui, nourrit une admiration sans borne pour la jeune fille, qu’il considère davantage comme l’œuvre d’art de toute une vie. Enfin, cela ne l’empêche pas de prendre soin de lui, et surtout de sa chevelure, qui est particulièrement rebelle et indomptable. Lisses mais incroyablement fins, il a un mal fou à les attacher (car, longs comme ils sont, il en fait parfois une queue de cheval. Parfois seulement.), et sa frange (tout aussi longue que le reste) se montre rebelle lorsqu’il veut la place derrière son oreille. Du coup, elle cache quasiment perpétuellement le côté gauche de son visage.. ce qui ne lui déplait pas tant que ça. Car même ses traits androgynes qui le font passer pour une petite fille l’insupportent, et ce même s’il s’en amuse. Camille est plutôt mince, chose qui l’agace aussi d’ailleurs, parce que malgré la nourriture qu’il peut emmagasiner, il ne prend pas un kilo, le persuadant ainsi d’être anormal. Enfin, ses ongles sont souvent recouverts d’encre de chine noire, et il est incroyablement souple, compensant sa force physique quasiment nulle.

C’était.. comme une série américaine au mauvais scénario, et dont le réalisateur ne s’était pas vraiment préoccupée. Comme si le flou et le black & white était à la fois programmé et imprévu. Comme si tout avait été écrit mais que rien n’avait été fait comme il fallait.
Comme si le disque de leur amour était rayé depuis le départ mais que la poussière sonore ne fut audible que bien plus tard. Lorsque, justement, plus rien n’était plus rattrapable. Que tout était perdu et destiné au néant.

La mélodie était pourtant si plaisante, le jour de leur rencontre.. Elle était héritière d’une grande fortune, et vivait dans le luxe sans même avoir besoin de travailler. Il était un étudiant en Science Politique des plus banals, mais il était talentueux et avait les capacités ainsi que l’attitude. Ils se sont croisés par hasard, un jour, et s’embrassaient pour la première fois un mois plus tard. Deux ans plus tard, les fiançailles, puis le mariage, tout semblait si parfait. Le papier à musique s’effritait cependant, au fur et à mesure que son ventre, à elle, s’arrondissait. Puis tout s’enchaîna ; Gabrielle, sa petite enfance, houleuse, son enfance, et l’éducation catastrophique du père (du moins aux yeux de la mère), les disputes, une seconde grossesse, Gabrielle se rebelle, elle déteste sa mère mais adore son père, Camille, un an, et son géniteur décide d’abandonner la politique. Une dispute. La dispute. Le divorce. Gabrielle a sept ans, elle part habiter avec son père. Camille reste avec sa mère. C’était inéluctable, évidemment. Et elle se fit la promesse de ne pas voir son fils devenir aussi décadent que sa sœur. Qu’au moins l’un des deux devienne quelqu’un. Commence alors la longue et laborieuse éducation de Camille. Il ne voit sa sœur et son père qu’une fois par mois, pendant deux jours. Un week-end, en somme. Son géniteur est devenu mangaka, et Gabby, puisque tel est le surnom qu’il lui donne, est épanouie et semble heureuse. Dés son plus jeune âge, il l’envie, sans pour autant jamais réussir à mettre un mot sur ce sentiment qui le dévore. Pourtant, il aime sa mère, même si celle-ci ne le considère que comme une poupée matière pâte à modeler et se montre intransigeante avec lui. Alors, il lui obéit, et devient ce qu’elle désire de lui, du mieux possible. Pourtant, ce n’est jamais assez, il en faut toujours plus, et les gifles ainsi que les réprimandes sont innombrables. Tant pis. Il se surpasserait, encore et encore, parce que seule la fierté de sa mère compte, pas vrai ?

Il n’allait pas à l’école. Sa mère fit son éducation, à l’aide d’un précepteur. Plus le temps passe, plus il vieillit, et plus il étouffe. Ses seuls moments de liberté sont grappillés chez son père et sa sœur. Ceux-ci sont d’ailleurs très proches malgré les nombreuses années d’écart. Leur relation est quasiment fusionnelle, mais ça, leur génitrice l’ignore ; elle ferait sûrement tout pour les éloigner le cas échéant. Alors, il se contente de l’aimer en silence, et l’admire en fermant les yeux, pour ne pas être trahi par l’éclat satisfait brillant dans ses yeux. Son père finit par se remarier, lorsqu’il n’a que 7 ans, et son petit paradis s’effondre alors. Cette femme ne l’aime pas, pour plusieurs raisons. D’abord, il est le fils de la « garce » qui a côtoyé son mari avant elle, et lui ressemble énormément. De plus, les petits garçons n’ont pas à ressembler à des petites filles, c’est contre nature. Et puis, il est vraiment trop arrogant avec elle, vraiment, quelle impertinence. Bien sûr, elle n’osa jamais lever la main sur Camille ; les deux parents auraient vivement réagi à cette offense. Mais les mots suffisent à blesser un gosse de son âge. Et lui qui n’avait quasiment fait que côtoyer ses deux géniteurs, il se rendit compte que les adultes n’étaient peut-être pas aussi gentils qu’il ne se l’imaginait. Alors, il se mit à les éviter. Même sa mère, qui prit cela pour un des fruits apportés par son éducation. Après tout, quoi de mieux que le mystère et la distance pour se faire respecter ? L’année suivante, elle fut assassinée, pour une affaire de drogue, ou il ne savait pas trop quoi ; là encore, il était trop jeune pour comprendre. Il récupéra sa carte d’identité sur son corps, avant que la police n’arrive, et l’emmène désormais partout avec lui. Son père aurait normalement dû l’adopter de façon légitime, mais sa nouvelle femme le lui interdisait. Alors, il fut envoyé en orphelinat. Là aussi, les adultes n’étaient plus pareil. Il n’avait plus le droit à des traitements de faveur, il était traité comme les autres. C’était cruel, non ? Il n’était pas n’importe qui, et puis il avait mal au cœur, aussi. Son monde venait de se briser. La symphonie n’était plus qu’une vague musique d’ascenseur mélancolique. Il pleura beaucoup.

Mais il ne resta pas longtemps dans cet établissement, à vrai dire. Il fut « adopté » par un homme qui l’emmena la même journée, et demanda à revoir sa sœur une dernière fois, celle-ci étant passé le voir une ou deux fois depuis son « internement ». Il la revit, en cinq minutes. Elle pleura, elle aussi, et lui fit promettre de lui écrire, ce qu’il fit. Elle lui donna un bout de papier, où elle avait préalablement écrit la phrase fétiche de son bouquin préféré, qu’elle lisait à Camille celui-ci petit. Ils se séparèrent là, et ne se revirent jamais. Le blondinet fut emmené dans un endroit où il fut placé avec plusieurs autres enfants, ou adolescents, tout dépendait. On lui injecta quelque chose dans le sang, lui expliquant que c’était un vaccin ou quelque chose comme ça, ou du moins pour son bien. Il se laissa faire, et évita les autres jeunes gens aussi souvent que possible, se montrant condescendant et imbuvable. L’éducation de sa mère avait porté ses fruits, apparemment. Enfin. Au bout d’une semaine, pendant laquelle il fut analysé de fond en comble par des sortes de scientifiques, il était assis dans un jardin lorsque la première communication se déroula. Un petit oiseau vint se poser à côté de lui, et, tout naturellement, lui fit comprendre qu’il avait faim. Pas avec des mots, non, mais.. en fait, il était bien incapable d’expliquer comment. Il le savait, c’est tout. Sa première « transformation » se déroula deux ou trois jours plus tard, et les scientifiques ainsi que les gens qui s’occupaient de lui semblaient soucieux. Et puis, un jour, il ne se réveilla pas comme d’habitude. Pas dans son lit. Dehors. D’ailleurs, c’était le froid qui l’avait réveillé. Et il se sentait fatigué, avait la bouche pâteuse. Il était faible, et ses gestes étaient lents, maladroits, aussi. Qu’est-ce qu’il faisait ici.. ?

bon bah tu connais mon avis sur ta fiche ^^

Bienvenue parmis nous et à bientôt en rp

J'ai les même manies T^T
Humidifier mes lèvres tout le temps, sentir l'odeur des livres neufs....



[la pauvre enfant elle délire toute seule... Méssieurs les blouses blanches....]

Bienvenue =)

xD
Merci beaucoup à vous deux ^O^

Bienvenue, je ne sais pas si les oiseaux sont ta passion mais tu as l'air bien renseigné ^^ Bon rp

Merci ^^
Non non je ne suis pas passionné par les oiseaux lol, mais j'ai un oncle ornithologue, donc je m'y connais a little =]

Bon, comme Sven n'est pas réapparu et que je doute que tu veuilles attendre avant d'avoir une fiche validée...

Bienvenue à toi =)

Fiche Validée

Merci beaucoup (même si je pouvais attendre le Grand Manitou 8D) ^^