Cerise Uli Eel [FV]

○ NOM : Uli Eel
○ PRÉNOM(S) : Cerise
○ SURNOM(s) : Pauvre petite poupée, Riri ?

○ SEXE : Féminin.
○ ORIENTATION SEXUELLE : Menthe ne lui permet pas d'aimer d'autre personne que lui.

○ DATE DE NAISSANCE : 13 décembre 1992
○ ÂGE : Vient juste d'avoir 16 ans

○ RHÉSUS : RHÉSUS DELTA [R-D]
○ EFFET GÉNÉRAL : Recroquevillée au fond de cette cellule beaucoup trop noire, elle regarde les gouttes d'eau se mourir sur le sol froid. Une flaque se forme, elle se rapproche et trempe son doigt dedans. Elle fait des vagues, puis des formes mais le trait s'efface, se perdant entre les fissures de la pierre. Elle fait alors très vite, un petit monstre, une petite boule ronde, adorable, avec un sourire qui réchaufferait n'importe quel coeur et amuserait n'importe quelle âme grise. Deux eptites ailes de diables ornent son front mais elle n'a rien d'un démon cette petite bestiole. Soudain, le temps semble s'arréter et l'eau se trouble et s'agite. La forme créée sort de la flaque et prend une toute autre dimension. La bête émet un petit son qui ramène la jeune fille à la réalité, elle prend alors cette boule orange dans ses bras.Eenfin de quoi se sentir moins seule. Elle l'appella Melba. Elle ne fait pas attention, mais elle vient de perdre l'usage de son petit doigt droit qui reste figé dans une pose un peu tordue.
La deuxième fois, s'étant un peu lassée de ce petit monstre qui ne peut parler, elle attend qu'une autre flaque se répande sur ce sol trop gris. Elle se rapproche à nouveau, laissant danser son index sur l'eau, formant cette fois un corps plus grand. Le temps s'est à nouveau arrété et l'eau ne ne disparaît pas quand elle fignalise les détail du visage rassurant et mystérieux de l'homme. Un corps fin mais musclé, des habits de roi qui lui vont à ravir lui donnant un charme certain, des cheveux assez long lui cachant le front et les oreilles. Pourtant cet homme est effrayant, surtout quand il commence à prendre une toute autre forme, une autre dimension et que l'hombre de cet homme assombrit le visage de la fillette. Un sourire malsain déforme son visage blanc. Elle est à lui, rien qu'à lui. Ses yeux noirs fixe la petite chose qui l'a créée, il l'a protégera, c'est sur, mais à quel prix ? Elle le nomma Menthe. Mais là, son annulaire commence à se tordre de douleur pour se bloquer dans une pose de souffrance suivit de près par son majeur et son pouce. Ne reste alors de sa main droite que son index.
○ EFFET NÉGATIF : Elle a perdu l'usage de quatre de ses doigts.

○ INVENTAIRE : Une gourde remplie d'eau.



○ AVIS SUR LES AUTRES RHÉSUS : "Ils" ne lui ont que très peu parlé des autres Rhésus mais à vrai dire, elle s'en fiche, où plus précisément, Menthe s'en fiche tant que les autres ne sont pas un danger pour SA Cerise.

○ GOÛTS : De qui voulez-vous savoir les goûts ? De Cerise ou de Menthe ? Car Cerise ne peut pas aimer ce qu'elle aime sous peine de facher le monsieur que voilà. Les choses sucrées et douces sont donc remplacées par les choses plus subtiles et salées. Sa couleur préférée ? Avant, elle aimait le bleu et le noir, maintenant, à cause de lui, c'est plutôt le rouge et le blanc.

○ MANIES : Il lui arrive inconsciemment de nettoyer sa jupette d'une poussière inexistante juste pour la faire voleter. Aussi, elle a l'habitude prendre son index droit dans sa main gauche et de le caresser avec son pouce. Des fois, elle ne se rend plus compte qu'il existe.

○ CARACTÉRE : Cerise n'est qu'une marionette pour son "ami" immaginaire, elle ne sourit que très peu mais n'est pas pour autant triste, juste absente comme si l'autre avait un total contrôle sur cette petite chose. Elle fait ce qu'il veut, de toute manière, elle ne peut objecter et ne saurait lui dire non. en contre partie, il l'a protège, d'une certaine manière, pas directement. A cause de lui, Cerise n'est plus quelqu'un de sociable, Menthe rejetant toute personne n'étant pas viable ou trop dangereuse, risquant de les séparer. Cerise est pour lui un semblant de vie qu'aimerait avoir un ami imaginaire. Il ne veut pas le bonheur de sa chose mais son bonheur à lui, tant pis si autour de lui la pauvre poupée souffre. Car oui, elle souffre, mais le cache très bien par de l'indifférence. Menthe ne lui permet pas de s'amuser, de courir, de rire. Non, tout ça ce n'est pas pour elle, il préfère la voir pleurer, hurler, tuer pour lui. Quel amour étrange est ce qu'il se passe entre ces deux personnages. Un seul mot : Manipulation. Cerise a créé le mauvais ami. Et plus le temps avance, plus leur relation est un poids pour Cerise, Menthe prenant une trop grande ampleur dans sa vie. Malheureusement, il sait se faire pardonner, trop facilement et Cerise n'y voit que du feu et laisse passer. D'un certain côté, elle l'aime. Mais de l'autre, elle le hais.



○ TIC : Cerise plie constamment son index droit, le faisant craquer.

○ PHYSIQUE : Une simple poupée, voilà comment résumer ce qu'est Cerise, une poupée, une marionette qui obéit gentimment au grand méchant loup. Son visage fin et pâle est encadré des cheveux lisses, courts et d'un bleu pastel. Deux grands yeux d'un bleu océan profond feront fondre les plus impassible. D'une taille plutôt petite (dans les 1m60), elle est facilement couverte par l'immense ombre de Menthe. Légère comme une plume, on aurait presque peur de la casser à moins que ce soit plutôt elle qui vous brise ? Malheureusement, depuis que Menthe a pris le contrôle de ce pauvre petit corps de poupée, un sourire cruelle à tendance à détruire ce visage d'ange. C'est comme si vous n'aviez plus à faire à Cerise mais à Menthe lui même.
Niveau vêtement, une tenue d'écolière comportant une chemisette blanche qui couvre peu son nombril à manche courte et dont le col bleuté soutient une fine cravate rouge. Une courte jupette bleue se soulevant trop facilement avec le vent ne cache que légèrement ses hanches. De courtes soquette blanches se laisse voir alors que de petites sandales brunes lui permettent de marcher sans avoir mal aus pieds.
De nombreux bleus ornent sa peau, la plus récente étant son magnifique oeil au beurre noir. Quelques bleus ou blessures un peu trop profonde sont décorés d'un pansement banal ou d'un bandage.


Cerise vient d'une famille ce qu'il y a de plus normal, à première vue. Ses parents lui ayant caché bien trop de secrets plus horrible les uns des autres. Des secrets qu'il ne fallait pas qu'elle voit, une porte qu'il ne fallait pas qu'elle ouvre mais qu'elle a ouverte. Du sang, partout, du noir, autour et du feu, broyant l'obscurité.

C'est tout ce qu'elle vit, le lendemain, elle était ailleur, dans une autre maison et il y avait des enfants partout, des grandes personnes autour d'elle et de la lumière, rendant cette endroit trop lumineux et à la fois trop froid. On lui raconta multiples histoires sur ce qu'il s'était passé ce soir là, quelques mots seulement raisonnaient dans sa tête, meurtre, suicide, disparition, enlèvement... Trop d'histoires différentes pour se faire une idée de la vraie vérité. Elle était là, c'est tout, dans cet endroit trop bruyant, trop lumineux avec toutes ces grandes personnes qui lui posaient trop de questions. Faisant croire de s'inquiéter pour elle alors que non, et ça, elle le ressentait, personne ici ne l'aimait réellement, le sang sur ses mains était toujours présent et se voyait aux yeux des plus malins et des effrayés.

Très peu de temps après, des gens bizarres vînrent la chercher, elle et d'autres enfants, mais ça, peut-importe. Elle remarqua les armes qu'ils portaient et se demanda pourquoi. Le voyage fut long, le bus qui les transportait ne lui permettait pas trop de voir toute l'étendue de ce paysage blanc. La dernière chose qu'elle vit fut la neige. Un homme la prena méchamment par le poignet, la tirant vers la sortie puis vers une nouvelle entrée, une porte étrangement noire et blindée. Après, il lui banda les yeux, elle ne dit rien, se laissant guider par cet homme bien trop fort par rapport à cet être frêle qui tenait. Il la jeta dans cette pièce humide et obscur, ne comprenant qu'un petit lit et un sol en pierre grise.
Au début, elle crut à un cauchemard, voulant se réveiller à tout prix, crier, pleurer peut-être ? Mais rien, elle resta muette, observant désespéremment ce lit. Ses petites mains formèrent des poings et quelqu'un entra dans la petite pièce. Cerise fit volte-face et se jeta sur ce nouveau venu pas désiré, elle le frappa de toute sa petite force, lui réclamant la sortie, lui implorant une explication. Mais aucune de ses plaintes ne furent reçues, l'homme en blanc la frappa sans ménagement, la laissant s'étaler par terre, des larmes s'échappant de ses yeux océans. Il lui prit le bras, elle le repoussa mais il la frappa à nouveau et lui injecta ce produit qu'on appelle Rhésus.

Et il revenait sans cesse, lui injectant de nouveau ce produit, la frappant quand elle se défendait, ne lui adressant pas une parôle, elle faisait de même maintenant sachant qu'elle n'aurait point de réponse.

Rien ne se produisait, elle les entendait se plaindre derrière la porte de sa prison et elle riait intérieurement. Elle riait de désespoir.

Cerise reçu quelques cours, lui permettant de ne pas rester à un niveau trop bas, mais même ces cours étaient sans vie, à peine arrivé que ses professeurs repartaient, elle ne voyait qu'une seule fois la même personne ne pouvant alors s'attacher à quelqu'un.

Puis un jour, alors que les scientifiques commencaient presque à perdre espoir de voir un jour Cerise faire preuve d'un don, celle-ci regarda tomber les gouttes d'eau et s'approcha de la flaque ainsi créée. Et elle esquissa un semblant de personnage, un petit monstre qui fut prit d'une vie en échange de la mort du petit doigt de la jeune fille.
C'est quand les scientists remarquèrent qu'elle parlait seule qu'ils en déduisient qu'ils avaient réussis. Leurs doutes furent dissipés quand Cerise se mettait à parler à une nouvelle personne et que, de sa main droite ne bougeait que son index.

Le scientifique revînt alors, une dernière fois, il faisait plus noir que d'habitude et il la frappa à nouveau mais cette fois tellement fort qu'elle finit par s'évanouir, laissant une marque affreusement douloureuse sur son oeil gauche. Le lendemain, la douleur était encore là, mais plus la pièce, elle crut réver mais ce sol vert était bien réel. S'étalant de tout son long sur ce nouveau lit d'herbe, elle ne prit pas le temps d'observer le paysage tout de suite. Mais une voix la fit se relever. Menthe. Lui aussi était toujours là.

j'aime bien la menthe , je suis pressé de te rencontrer en rp pour le siroter (a)
Reste plus cas voir ce qu'il va faire de toi, j'aime bien ta fiche^^

Bienvenue Mam'Zelle !!

Quelle étrange bêstiole que voilà...
Tu crois que j'aurais le droit de jouer avec ta boule orange ? °°

Encore faut-il que tu puisses la voir ! ^^

Encore merci et Uru, je doute qu'il se laisse siroter gentimment x')

Bienvenue à toi !
Moi aussi, j'veux siroter Menthe !!!

Fiche Validée